lundi 3 avril 2017

Constantine

Constantine



Constantine est une série télévisée américaine en treize épisodes de 42 minutes développée par Daniel Cerone et David S. Wikipédia
Premier épisode : 24 octobre 2014
Épisode final : 13 février 2015

John Constantine est exorciste et expert en magie Noire.
Originaire de Liverpool, il parcourt le monde (enfin, les USA) à chaque manifestation de démons et phénomènes paranormaux.  Désinvolte, alcoolique et séducteur, il cache sous son cynisme permantent un sens du devoir sans faille. Malgré les fréquentes visites d’un ange mandaté pour le soutenir dans sa mission contre le Mal, Constantine utilise en général des méthodes peu orthodoxes.

Hanté par un exorcisme raté qui a coûté la vie à la fille d’un de ses amis, la petite Astra, Jet persuadé d’être voué à l’enfer, ohn n’a pas de limite dans son combat contre les forces obscures.

Il patrouille en général avec l’aide de Chas, son ami/homme à tout faire, un immortel à temps partiel, et Zed, une artiste voyante qui découvre à peine comment utiliser son pouvoir.

Ils croisent la route de nombreux démons, sorciers, nécromanciens, et celle d’un baron du vaudou, Papa Midnite, qui n’a de cesse de vouloir massacrer Constantine…

La série propose 13 épisodes sans conclusion, car la production a été arrêtée en cours de réalisation.
Une vraie déception pour les fans du personnage de DC dont cette interprétation sympathique, drôle et dark à la fois, rappelait les meilleures heures de Supernatural.
Cette review est donc minimale, mais une seule chose à dire : regardez ces 13  épisodes, et découvrez un héros qui aurait mérité tellement plus.
Gros coup de cœur , et du coup, gros coup de blues !




dimanche 15 mai 2016

Intruders (2015)

Cast
Director






Une belle maison ancienne, un peu en retrait de la ville.
Une jeune fille un peu perdue, terrifiée à l'idée de sortir de la maison, au point qu'elle n'a pas mis un pied dehors depuis 10 ans.
Le frère de cette jeune fille, agonisant lentement d'un cancer.

Un tableau original pour commencer ce film. L'image est douce et poudrée, lourde comme un soir d'orage. La lumière est belle. On se dit qu'on va passer un bon moment.

Après le décès du frère, 3 cambrioleurs malins et pensant être bien renseignés profitent du jour des obsèques pour s'infiltrer dans la baraque. Ben oui, la nana sera forcément à l'enterrement de son frère, non ? ... Non, justement, puisqu'elle ne sort pas.

Voici notre héroïne captive dans sa propre maison, avec 2 gaillards pas finauds menés par un chef de bande bien psychotique.
Mais la maison a bien des secrets, et la demoiselle aussi...

Tout pour lancer un petit thriller sympa.

Je ne vous balance pas le trailer, car il révèle la totalité du film, évidemment.

Disons simplement que la jeune effarouchée possède dans sa jolie maisonnette une structure complexe de torture, et qu'elle compte bien s'en servir contre ses vilains agresseurs.

La base est sympathique, et les acteurs plutôt bons même si le méchant psycho tire sur la caricature. La jeune fille fragile et folle tire bien son épingle du jeu, avec finesse.
Par contre, le scénario vire très vite au n'importe quoi facile, pour le plaisir de faire un slasher/torture/saw-like (mais pas trop quand même car on voulait le PGI 13). C'est un peu dommage, car l'idée en soi n'est pas mauvaise, mais comme très souvent dans ce genre de film, le manque cruel d'explications logiques finit par écoeurer.

On a envie de savoir le pourquoi, le comment, le quand, le combien de temps, toute la structure de l'intrigue qui a mené à ça. Et combien de pognon a pu coûter une telle structure. Parce que c'est bien mignon, les portes dérobées, les escaliers téléscopiques, les lumières commandées à distance, les micros, les caméras, m'enfin entre tout ça et la meuf qui ne sort pas de chez elle et se fait quand même livrer l'intégralité de sa bouffe, elle doit être millionnaire, donc on se demande vraiment ce qu'elle fout dans le trou du cul de la Caroline du Sud (ou la Floride, je ne suis plus sûre).

Bref... un gros "dommage" sur ce point, qui m'a vraiment empêchée d'apprécier le film. Trop gros, passe pas.

Note finale : 4/10
De bons acteurs, une bonne photo, une réal propre, mais un scénar bancal qui agace.
Un film qui n'est pas à jeter, mais qui ne restera pas dans mes préférés... dommage.



lundi 2 mai 2016

The Calamari Wrestler (2004)


Championnat national de catch.
Le vainqueur brandit sa ceinture durement gagnée... et se la fait voler par un calamar géant. Avec des jambes. Qui parle. Et qui fait du yoga. Si.

Fou de rage, il n'a qu'une idée en tête : reprendre sa ceinture et laver son honneur. Pendant que les médias s'affolent sur le futur match, sa fiancée s'interroge... ce mystérieux calamar serait-il son précédent amour, disparu des suites d'une étrange maladie ? Lui dont l'assistant a désormais ravi la gloire, le titre, et même son p'tit coeur à elle ? Diantre. 

Donc, on parle d'un film de sport à la Rocky, avec romance, balades main dans la main (ou le pseudopode); couchers de soleils, entraînements musclés, eye of the tiger.
Mais avec un calamar. Enfin, un mec dans un costume de calamar, mais avec les jambes qui dépassent. Et ça ne dérange personne.

Puis quand arrivent une pieuvre et une écrevisse boxeuse (parce que voilà, ne soyons pas chiches), ça ne perturbe toujours pas le spectateur lambda, ni la ligue nationale. Bah oui hein.

Quelque part entre le film de monstres, Power Rangers et Ranma 1/2, il devait y avoir ce film.

Si vous êtes coincé, esthète ou hermétique à l'humour décalé japonais, vous pouvez passer votre chemin, vous ne trouverez pas votre bonheur.

Si vous aimez le joyeux WTF, les animaux géants en caoutchouc avec yeux en boules de billard, Intervilles et les doublages foireux, vous devriez adorer cette petite perle de grand n'importe quoi, surtout en VF.

Ca se regarde avec une bière et ça fait furieusement penser aux Samourai Pizza Cats.
Allez savoir pourquoi. 

Note finale : 7/10
J'aime les monstres marins, les films décalés et rigoler un bon coup. J'adhère forcément à cette sucrerie délirante et bon esprit, avec jeux de mots minables en prime. Merci, Calamari Wrestler.

mardi 9 février 2016

Unfriended



Date de sortie 24 juin 2015 (1h 23min)
Nationalité Américain

Des ados chattent sur skype. Blaire s'aperçoit qu'un mystérieux interlocuteur s'est incrusté dans leur conversation, et il est impossible de le kicker ou le bloquer.

Ce mystérieux étranger commence à envoyer à elle et sa petite bande de potes de mystérieux messages concernant le suicide, un an auparavant, d'une de leurs amies. Celle-ci avait craqué après une humiliation publique, une vidéo la montrant bourrée et délirante l'affichant partout sur les réseaux sociaux.

Tout d'abord, il faut arriver à entrer dans le film, qui surprend par son format. Entièrement réalisé comme si vous consultiez l'écran de votre ordinateur, il est donc bon de le regarder sur pc ou tablette, moins sur tv. Du coup, je suppose qu'au ciné, ça devait être étrange, voire nul.

Quand on a passé cette première barrière, il faut aussi s'intégrer au sujet. Vu qu'on va parler de facebook et skype, il faut connaître un minimum les plate-formes suscitées pour piger quelque chose au film.
En gros, c'est un film qui s'adresse à une génération très précise. Si vous n'accrochez pas, vous resterez sûrement hermétique à l'intrigue.

En soi, la réal n'est pas extraordinaire. On va utiliser les mêmes processus éculés que dans n'importe quel ghost movie : l'écran qui freeze, les lumières qui s'éteignent, les caméras qui montrent des choses étranges...
Les acteurs sont corrects, le rythme n'est pas mauvais. Rien de fou, mais quelques moment bien dégueulasses qui surprennent.

Au final, ce petit film n'a rien de tellement intéressant, si ce n'est ... le thème.
Car le harcèlement sur le net, c'est un sujet horriblement épineux, et le traiter à travers un film d'horreur, ça donne envie de dire pourquoi pas.
Comme assez souvent dans ce genre de prod, on finit par être complètement en phase avec le fantôme vengeur, tant les épouvantables petits cons (riches et suffisants, aucune mention inutile) ont été atroces.

Ca peut amener à dialoguer avec les jeunes générations, pour nous, vieux cons.

Bref, ça touche une corde difficile, et pour cela, je suis contente que ça existe.

Note finale : 6/10
Un film qui a le mérite de tester un support très éphémère (car sera ringard dans 2 ans), sur un sujet qui touche une actualité très restreinte, mais qui est sans doute amenée à prendre de l'ampleur.
Une grosse prise de risque qui peut mériter le coup d'oeil.

Zombeavers (2015)


Nationalité Américain

Des College Girls voulant consoler leur pote fraîchement cocufiée s'exilent au fond du Vermont pour un weekend sans téléphone. Bientôt rejointes par leurs mecs respectifs aussi crétins qu'excités, ils doivent rapidement faire face à la terrible réalité : les castors du coin sont devenus des zombies assoiffés de sang humain, et en plus, ils ont coupé le réseau téléphonique. Et la route. Avec leurs dents. Si.

Voilà, quand on commence comme ça, on sait qu'on va vers le nanar.
Vulgaire, cliché et mal foutu, ce film peut agacer les puristes par sa désinvolture adolescente et son ostensible "On a dit que c'était un nanar, alors merde quoi on fait pas d'efforts c'est plus marrant".

Oui, mais quand même, des castors-zombies en peluche très moche, mal animés à la main, c'est franchement jouissif.
Les CGI full pâte-à-modeler et confiture, les acteurs lamentables, les incohérences de plans et de scénar (la maison des voisins qui est carrément absente puis entre 20 et 200 mètres ... ) contribuent grandement à ce qu'on rigole bien devant ce popcorn-movie sans prétention, qui nous ramène avec efficacité aux basiques des années 80/90.

Bon point pour les répliques des deux rednecks du début et du vieux chasseur.

- Y'a des gens qui veulent pas qu'on chie chez eux"
- C'est dingue, c'est à croire qu'on a chié dans leur salon"
- "Ben justement j'ai chié dans leur salon"
"Qu'est-ce que vous faites ?
- On cherche des castors
- On en est tous là. "

Un niveau.... délicieux.


Note finale : 6/10
Moins décalé que Black Sheep ou Rubber, moins drôle que Shaun of the Dead, Zombeavers ne deviendra peut-être pas culte dans la catégorie horreur-comédie.
Mais avec moins de fric et plus de rigolade que des superprods comme Pirahna 3DD, ce petit délire vous fera passer un bon moment de déconnade, surtout si vous le montrez à des non-initiés.

lundi 7 décembre 2015

Dr Frankenstein (Victor Frankenstein), 2015



Date de sortie (1h50min
Réalisé par
Avec plus
GenreFantastique , Aventure , Epouvante-horreur


Un scientifique fou essaie de créer la vie de façon artificielle à partir de cadavres réanimés par l'électricité, secondé par un assistant bossu, Igor.
Et c'est comme ça depuis le bouquin (1818) et le premier film (1910, quand même...)


Ca commence avec un "Vous connaissez l'histoire". Ah bah oui hein, du coup.
En ce moment, on n'est pas à un remake près. Alors que donne celui-ci ? 

La première surprise est le lieu. Frankenstein, comme son nom l'indique ou presque, est Suisse. L'histoire est en général placée dans les montagnes, dans un château flippant de la Forêt Noire (oui bon Suisse, Allemagne, c'est pareil non ? Chez Hollywood en tout cas, pas de problème).

Transférer Frankenstein dans une usine en pleine révolution industrielle Londonienne est un choix audacieux. Un choix esthétique intéressant si je veux être indulgente, un choix à la mode-par ici les pépéttes ! si je veux être dure. Depuis Sherlock Holmes et consorts, le steampunk est à la mode, tout le monde à Londres - et mettez des engrenages, les mecs ! Plein ! 

Moui bon bref. Frankenstein est jeune, beau (mais ne sent pas le sable chaud, plutôt le cadavre froid) et squatte une usine désaffectée en plein Londres. Un soir, alors qu'il parcourt les bas quartiers pour choper des bouts d'animaux morts, il fait la rencontre fortuite d'un jeune bossu sans nom, génie de la médecine mais souffre-douleur d'un cirque mal famé. Il récupère le sauvageon, bien plus pour profiter de son talent que par bonté d'âme.

Pourchassés par un inspecteur de Scotland Yard illuminé et rageux, ils finissent par faire leur Prométhée au fin fond de l'Ecosse. 

Ce film aurait à priori tout pour plaire, mais la sauce manque cruellement de matière, et ne prend pas. 

On patauge un peu, on sent la peur du PEGI 12 empêcher farouchement les auteurs de se lâcher. On reste dans un carcan consensuel quand on touche pourtant à l'un des plus gros tabous de l'humanité : réveiller les morts ! 

James McAvoy est juste dans sa folie enthousiaste. Il entre à la perfection dans son personnage torturé, changeant, obsessionnel. Daniel Radcliffe, en chien fidèle, perdu dans un monde qu'il découvre à peine et dévoré par la peur et la reconnaissance, est également dans les clous. Ils sont irréprochables. 

 Ca attaque fort, par l'opération à vif du malheureux bossu, on se dit ha ben cool ça va saigner un peu. Puis... non. Le singe Gordon, premier essai raté de Prométhée, n'est pas assez sale, pas assez violent, pas assez flippant. Les rares scènes violentes sont très courtes, on ne peut absolument pas parler ici de film d'horreur, mais simplement de fantastique light. 

Certains vides sont insupportables : comment Frankenstein s'est-il procuré les morceaux de Prométhée ? Toute la fabrication du personnage, qui devraient pourtant être au coeur du film, est floutée dans une superbe ellipse temporelle. Pourquoi ? Par peur du gore ? Du malsain ? 
Mais purée de purée, quand on fait ce genre de film, on DOIT être gore et malsain. On veut voir ouvrir les tombes à la lanterne, cambrioler les hôpitaux, soudoyer des croque-morts dégueulasses.
C'est l'âme même de ce sujet, on l'attendait le coeur battant, et puis rien... 

La fin est une déception.
Prométhée lui-même est un peu trop lisse, trop mou, on le voit 5 minutes et c'est plié.
On élimine tellement vite tous les problèmes, on sent un énorme rush vers le happy end pour qu'on ne puisse surtout pas avoir le temps de se sentir trop mal à l'aise après le massacre complet des figurants et de l'inspecteur susdit. (bien fait pour sa pomme, au passage). 

D'ailleurs, ce personnage est pour moi un mystére. 
Malgré son potentiel extraordinaire (un fou de Dieu contre les impies ! Une chasse aux sorcières en plein Londres !), il est lui aussi survolé. J'ai eu l'impression qu'il n'existait que pour justifier un contexte : Vous voyez, les enfants, le monsieur il est pas content que Frankenstein veuille réveiller les morts car à l'époque on rigolait pas avec ça, ni avec Dieu, m'voyez.

Alors que je m'attendais à une réelle montée en puissance de sa folie furieuse et à une confrontation finale ultraviolente et mystique, je suis encore une fois restée sur ma faim. 

Vous allez encore me dire que je dis ça à toutes mes chroniques, mais merde, il s'en est fallu de peu pour qu'on ait vraiment un beau film... Un cas typique des années 2000 : à vouloir plaire à tout le monde on finit par faire du fadasse. Quel dommage, mais quel dommage !


Note finale : 5/10

Une jolie brochette d'acteur connus et talentueux, des décors chiadés, des méchants chic et choc, que fallait-il de plus pour faire de ce Frankenstein un charmant renouveau du classique ?
Un peu d'audace, peut-être...
D'une histoire qui devrait faire frissonner jusqu'au fond de votre âme, Paul McGuigan signe un film sympa, mais sans surprise. 

Sharktopus Vs. (2015)



Date de sortie2 juin 2015 en DVD (1h28min
Réalisé par
Avec
Après la découverte de l’ADN d’un ptérodactyle, le Dr Rico Symes combine ce dernier à celui d’un barracuda, créant ainsi un monstre capable de terroriser terre, mer et air. Il perd le contrôle de sa créature et ne trouve qu’une solution ultime : lui opposer le nouveau Sharktopus. Un combat titanesque s’engage.


Pour commencer cette petite chronique, il faut se remettre dans le contexte des films Asylum.
On prend n'importe quel animal dangereux (ou même pas dangereux en fait hein... ). On le rend géant.
Déjà, on a Mega Shark, Giant Octopus, Mega Python, Super Gator, et j'en passe.
Après, il est de bon ton d'hybrider les machins. Votre imagination ne doit pas avoir de limite : Pirhanaconda, Sharktopus, Dino Croc...
Vous pouvez ajouter des outsiders mécaniques (Mecha Shark, si, si) ou simplement totalement improbables (Sand Shark, Snow Shark, Sharknado. Si si. Bis).

Après, vous les mettez dans un petit chapeau, vous en tirez 2 et vous faites les "versus".
Parfois c'est vraiment un versus, parfois même pas, on n'est pas à ça près.

Vous vous dites, mince, c'est joli tout ça mais on n'a toujours pas de scénario.
Et  bien moi je vous réponds, sans pression : quelle importance ?
Ajoutez vite une multinationale véreuse/un dictateur fou/un scientifique assoiffé de reconnaissance/aucune mention inutile.
Touillez, ajoutez deux-trois hectolitres de faux sang en 3D, et vous gagnez une partie gratuite.


Que dire donc de ce nouvel opus ? Un scientifique assoiffé de reconnaissance se fait hacker par un vilain (ah oui, j'avais oublier les hackeurs à la solde des dictateurs fous, ici, un russe, quelle surprise), ce qui fait que son Pteracuda ne fonctionne plus et décapite dans la joie les touristes idiots de Hawaii. Une gentille biologiste naïve mais résolue (j'avais oublié la caution féminine de ces films : couillue mais jolie, virile mais avec des failles quand même faut pas déconner) essaie d'apprivoiser Sharktopus. Sans trop de succès, du coup, bain de sang. Mince alors.

Un scénario parfaitement bâclé, des personnages caricaturaux et inconsistants au possible, des moments "comiques" superbement inutile : un nanar mené de main de maître, à aucun moment ce n'est original, novateur ou simplement bon.

On notera l'insistance des casteurs de ce genre de bouse à trouver des homonymes inconnus : ici, Robert Carradine.
On a toujours l'impression de trouver le cousin raté de la famille, celui qui ne fait que ce genre de film.

Il m'est toujours difficile de noter ces films, que j'adore honteusement comme un amateur de grands vins siroterait un Panach en cachette.
Mais quand même, qu'est-ce qu'on rigole, et qu'est-ce que c'est bon.

Note finale catégorie Nanar : 6/10
Si vous aimez les vraies histoires structurées, les personnages travaillés et intelligents, voire le cinéma en général, vous pouvez passer votre chemin sur l'intégralité de ces franchises.
Si, comme moi, vous aimez les poulpes, le popcorn et les mauvais acteurs, c'est Noël. 
Sharktopus VS Pteracuda n'est pas le plus drôle de la série, mais un bon point pour la continuité dans la nullité.
Avec amour.